• Age » Vingt-et-un ans, baby • Date et lieu de naissance » 28Février 1991 à New-York • Groupe » Danseur • Star sur l'avatar » CandiceHotAccola • Poste Vacant? » [] Oui [] Non [X] PV d'un membre • Autres » A une plume qui s'efface en oiseaux sur le poignet droit. ( représente le temps qui passe et les personnes qui changent. On est ensemble et au fur et à mesure chacun prend son envol)

Aussi longtemps que je m’en souvienne, ma mère a toujours été comme ça avec moi. Aussi longtemps que les souvenirs de mon enfance reste gravés dans ma mémoire, c’est ma mère, ravagé d’être passé par le temps, qui fait tout pour que je ressemble à la plus populaire des mannequins du moment… Elle perd sa beauté, elle veut prendre la mienne. Tu te laisses faire, sans vraiment le vouloir, mais aux yeux d’un enfant, d’une petite fille qui n’atteins pas la hauteur de trois pommes, voir le bonheur dans les yeux de sa mère, les étincelles qui brillent, cela vaut toute les maltraitances au monde, toutes les soirées shopping, tout le maquillage, et les photographes payés des centaines d’euros pour venir photographié ‘la fille chérie, la plus jolie petite fille de New-York, de cette terre’. Mais aux yeux d’une jeune fille de seize ans, c’est déjà autre chose. Comment arrivez à passer au-dessus de ce perfectionnisme jamais atteins ? On se rebelle, comme toute adolescente qui voit son corps changeait et qui a peur sans pouvoir l’exprimer même pas à sa mère de peur qu’elle ne se déchaine encore une fois sur elle. Passer inaperçu, première technique, ce faire toute petite… Tout faire pour qu’on ne la regarde pas, parce qu’à la maison, ce n’est que ça. Mais pas évident quand tout le monde sait déjà qui tu es, parce que des photos de toi circulent, provenant d’une mère que trop fière de ‘son œuvre’. Se rebellez, deuxième solution. Chercher désespérément à faire comprendre qu’on n’est pas d’accord avec tout ça. Mais à quoi bon. Je n’ai jamais été fière d’être d’une famille célèbre et surtout riche. J’aurai tout donné pour vivre dans une petite maison, avec une mère qui te fait des petits gâteaux, et un père qui rentre du boulot et te demande un câlin parce que tu lui as manqué. Aussi longtemps que je m’en souvienne, je n’ai jamais vu ma mère et mon père, proche, lèvre sur lèvres, main dans la main, ou encore yeux dans les yeux. Et pourtant. Mon père. Il avait tant d’amour à donner, mais tellement pas de courage pour affronter sa femme. Et les nuits, où il venait en secret, me faire un bisou sur le front et me dire bonne nuit petite fée sont désormais bien lointaine.

A dix-huit ans, j’ai décidé de fuir. Dernière solution. Fuir. Avec une seule lettre. Une seule preuve que mon acte était délibéré, et que mon père et ma mère ne déploie dénombrables efforts pour me retrouver. Je ‘n’avais pas envie qu’il me retrouve. J’avais envie d’un nouveau départ, d’un anonymat, d’un semblant de vie ‘ normal’. Alors j’ai fui. Laissant peut-être beaucoup derrière moi. Mais à quoi bon ? Si c’est pour souffrir dans ce qu’on appelle un chez soi ? Quand on sait que mes meilleures amies lorsque j’étais enfants, était les femmes et hommes d’accueil des hôtels particuliers dans lesquels je logeais… Des amis, j’en quitte. Peut-être des trop bon. Surement des trop bon. Partir en laissant Sara, est peut-être la chose la plus dur sur terre. Cette jeune fille vers qui je m’étais tourné durant ma phase d’essayage d’anonymat. Mais elle se débrouillera sans moi, comme moi j’y arriverais sans elle. Personne n’est jamais indispensable, en tout cas c’est que je pensais à l’époque. Est-ce que je regrette d’être partie ? Non ! Est-ce que je regrette de ne pas avoir donné signe de vie à Sara depuis tout ce temps ? Oui. Surement. Mais j’ai appris que tout le monde partait toujours. Je pars toujours. Elle et moi dans la même situation. On changeait toujours d’endroits, d’hôtel, … etc. mais on gardait toujours contact et parfois même on arrivait à se retrouver dans une même école. Mais cela ne pouvait pas durer. Et j’ai fui. J’ai fui la ville des stars, New-York pour fuir vers Miami, le soleil, les plages et surtout la normalité ! Règle numéro un : se fondre dans la masse !

Heureusement j’avais certaines connaissance, grâce à ma période ‘rebelle’, tout comme son tatouage au poignet, et j’ai facilement pu repartir à zéro avec une nouvelle identité. Un nouveau prénom notamment j’ai laissé tomber le Nina pour Lorena, le prénom de ma grand-mère. Transfert d’argents sur un autre compte, etc… C’est comme ça que j’ai commencé ma nouvelle vie à Miami. Plus personne ne me connaissait, plus personne ne savait d’ailleurs que j’étais une ‘fugueuse’ enfin fugueuse oui j’étais majeur tout de même. Tout ce que je voulais c’était que mes parents ne me retrouvent pas. Je ne voulais plus les supporter à nouveau. J’ai essayé d’être quelqu’un d’autre, quelqu’un de plus forte, quelqu’un qui surmonte les épreuves sans se retrouver en larmes toutes seules dans son lit. J’ai essayé d’évoluer dans cette ville en étant seule et solitaire. Mais je n’y arrivais pas. Et c’est à ce moment-là que j’ai rencontré Kayla. C’était ma voisine, et j’ai tout de suite compris qu’elle ferait parti de ses gens sur qui on peut compter. Ce serait le pouce de ma main, la première des premières. La meilleure ! Elle a été une attache importante, la seule vraiment dans cette ville. Elle arrivait à me comprendre mieux que qui compte, elle y arrive encore d’ailleurs, même quand je m’efforce de cacher tout ce qui ce passe en moi, toutes les émotions et sentiments qui bougent en moi. J’ai très vite développé une sorte de protection, une image qui me permettait de rester dans ma bulle et de ne pas devoir expliquer aux gens mon histoires, mes ressentis, etc… J’étais froide, sans pitié, et je ne laissais personne me marchait sur les pieds… Et à vrai, cela ne me dérange toujours pas. Avoir une sale réputation, m’importe peu tant que je sais où sont moi, mes valeurs et mes pensées. Comment et pourquoi je pose mes actes. Et surtout où sont mes réels amis…

J’aurai pu vivre ainsi longtemps à Miami, cependant Kayla décide de partir SU, un centre où l’on peut exercer l’art que l’on désire. Ma décision a été rapide j’ai décidé de suivre Kayla. Premièrement j’avais envie de reprendre des études, faire quelque chose de ma vie, autre que serveuse dans un bar…. Et puis la perceptive de pouvoir enfin travailler la dance sérieusement (et oui toujours à me regarder moi-même seule dans la glace…) était sérieusement alléchante ! Deuxièmement, Kayla était la seule attache que je m’étais faite à Miami, sans regrets, volontairement. Et la perceptive de la perdre m’était affreusement insupportable et donc je l’ai suivie. Parce que Kayla était et est toujours ma meilleure amie ! Et que sur cette terre, personne ne pourra être à sa hauteur.

Ma vie à Los Angeles, ne diffère en rien à celle de Miami, excepté que je peux librement suivre des cours et m’adonner à la dance, art dans lequel je me révèle d’ailleurs extrêmement douée. Mon image de démon m’a suivi jusqu’ici, avec mon aide, bien évidemment, cependant je m’attache peut-être plus facilement au gens… faiblesse ou courage ? Je ne sais pas… De plus, je me détruis de plus en plus... Un de seuls secrets que même Kayla ne sait pas... Mais ça, vous ne le serrez pas ! Mais une chose est sûre. Je ne laisserai personne blesser les personnes que j’aime, surtout pas Kayla…

« Elle est trop superficielle. Pour elle, il n’y a que le physique qui compte, elle ne s’intéresse pas aux gens. Elle ne cherche pas à les comprendre. Exactement la fille que je ne supporte pas. En plus, elle agit comme une vraie peste ! Elle peut être vraiment méchante quand elle veut ! Personnellement je ne me frotterais pas à elle. Elle n’est pas du genre à sympathiser avec les gens au contraire. Non franchement je ne l’apprécie pas »

« Lorena ? C’est une amie fidèle. Elle ne laisse jamais tombé personne, elle est toujours là quand j’ai besoin d’elle. Elle ne me laissera jamais tombé. Elle fait partie de ces gens, ces gens qui sont toujours là dans les bons et surtout dans les mauvais. Elle me pousse toujours à faire ce qui est bon pour moi. Elle sait où sont les priorités dans la vie et elle n’hésite pas à m’aider quand je pars à la dérive ! Mais bon… »

Lorena c’est un peu des deux. Elle est à la fois un démon. Un vrai démon. Mais en même temps un vraie ange. Au fond, très peu de gens comprendre qui est Lorena en vraie. Elle est torturé de l’intérieure et donc elle ne se laisse pas approché facilement. Il faut gagner sa confiance. C’est dur. Mais quand on l’a. Elle reste toujours là, même après de nombreux faux pas. C’est peut-être un défaut, mais Lorena pardonne très vite aux gens. Elle est consciente de ses défauts alors elle trouve injuste de punir les autres pour les leurs. Elle saisit rapidement les gens. Elle les comprend et les cerne très bien. Un de ses points fort dans la vie peut-être ? Sauf avec certains garçons pas très fréquentables, où là elle peut se trouver facilement naïve. Elle donne l’impression de barrer en rouge toutes les critiques qu’on lui fait, toutes les insultes ou toutes les disputes qu’elle subit mais en réalité ça la touche plus que n’importe qui. Elle est très sensible, mais sa sensibilité reste cachée aux yeux du monde. Elle a une attitude d’autodestruction envers elle-même mais elle ne supporte pas de voir les autres autour d’elle s’autodétruire. « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ».

Surnom : Floney
Âge : 19ans
Où avez-vous connu le forum ? J'vous explique j'étais partie voir ma copine Alice, au pays des merveilles et là PAF en route je tombe dessus... Bah du coup encore une fois j'ai pas su résister ( c'est le même syndrome que celui du Nutela à la cuillère ! )
Avez-vous rempli le bottin des avatars ? (nécessaire pour être validé) Non Mouahaha
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Autre : Je vous aimmmmmmmmmmmmmmmmmmmme I'm back